Perspectives
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L’environnement technologique dans lequel évoluent les entreprises est en mutation, notamment grâce à l’émergence des nouvelles technologies telles que l’IA et l’automatisation de processus (RPA). Selon une étude menée par PwC, le marché des nouvelles technologies représenterait en 2024 11Mds de $ contre 200M en 2015. Une hausse estimée à 55 fois la valeur actuelle de ce marché et qui exprime un engouement significatif pour ce domaine.
Ces technologies sont porteuses d’améliorations dans la collecte et la qualité des données traitées. Le développement de blockchains, par exemple, est un levier pour perfectionner le stockage et la transmission d’information. Ainsi, aujourd’hui trois-quarts des entreprises étudient ou mettent en place la robotisation[1]dans les fonctions financières pour obtenir les externalités positives éprouvées avec les nouvelles technologies.
Évoqué pour la première fois en 1996, le concept de « Mobility as a Service » est aujourd’hui un sujet clé lorsqu’il s’agit d’évoquer le futur proche de la mobilité. S’appuyant sur le développement du digital et de l’économie collaborative, ce concept apparait comme une solution aux enjeux de durabilité économique et écologique du XXIème siècle.
Qu’est-ce que la digitalisation du cycle Purchase-to-Pay peut apporter à votre organisation et comment l’implanter ? En moyenne, 60 à 80% des coûts d’une compagnie sont à attribuer à des tierces-parties pour l’achat de biens et de services[1]. Face à de telles proportions, la gestion du cycle « Purchase-to-Pay » (P2P), qui regroupe l’ensemble des processus de la chaîne d’achat, de la commande[2] à la facturation, devient nécessairement un enjeu majeur pour la plupart des organisations. Au sein d’une entreprise, le P2P constitue en effet le maillon essentiel de la chaîne achats et comptabilité fournisseurs, et comprend des fonctions incontournables – telles que la gestion de la Supply Chain, des demandes d’achat, des bons de commande, de la facturation ou des réceptions. Il…
La RAPT observe et étudie le marché des véhicules autonomes depuis l’émergence de la technologie. Néanmoins, cette réflexion d’ordre stratégique devait s’accompagner d’une démarche proactive d’expérimentation et de mise en situation. Voilà que Benjamin Jolivière, chef de projet Évaluation des Véhicules Autonomes (EVA) au sein de la RATP, est arrivé, franc, plein d’ambitions et d’envies de casser les codes, poussé par les premières démonstrations parisiennes de navette autonome.
Cependant, mettre en place l’expérimentation innovante au sein des structures existantes allait à la rencontre de la liberté, de l’agilité et de la latitude dont il avait besoin. Rentrer dans la course à l’autonomie, alors que l’on n’est pas fabriquant, a besoin de réactivité, de rythme et d’audace.
Le paysage de la mobilité – ou du moins, sa perception – ne cesse de se recomposer. Si, en mai dernier, le salon VivaTech a apporté son lot d’espoirs en montrant la résolution des acteurs du secteur à innover et agir pour le bien commun, ces dernières semaines nous ont rappelé que les obstacles à surmonter sont encore nombreux. Les trottinettes voient leur popularité péricliter, tandis que les vagues de chaleur nous rappellent l’importance du chantier écologique et social que représente l’édification d’un système de MaaS à grande échelle. Le tableau est cependant loin d’être entièrement noir : l’adoption de la loi LOM, bien que difficile, représente une grande avancée d’un point de vue réglementaire, et l’entrée des grands acteurs publics…
La transformation digitale du secteur public est un enjeu sociétal majeur, en témoignent la volonté de l’Etat d’aller vers une modernisation du service public et les multiples réformes centrées sur la relation aux usagers. Sur ce point, une enquête réalisée auprès de décideurs des administrations montre que 39% d’entre eux estiment recourir de manière très importante au numérique dans la gestion de la relation aux usagers (cf. Figure 1). À horizon 2022, ce recours deviendra une réalité pour 100% des agents du service public. Figure 1. Le numérique dans la gestion de la relation usagers du secteur public A l’échelle territoriale, 44% des décideurs estiment que la relation usager est le domaine qui a le niveau de recours au numérique…
En France, la transformation numérique de l’Etat apparaît parfois comme une gageure, ardemment désirée mais difficile à atteindre. De la GovTech aux smart cities, la digitalisation fait rêver, mais se heurte à une logistique complexe et à une population encore victime « d’illectronisme ». En Europe et dans le monde toutefois, d’autres initiatives, tout aussi (voire plus encore) ambitieuses sont à l’œuvre. Notre revue de presse de ce mois-ci revient sur certains des projets les plus marquants de ce secteur. Alphabet dévoile sa ville du futur à Toronto Sidewalk Labs, la filiale d’Alphabet (maison mère de Google) dédiée aux innovations urbaines, dévoilait le 25 juin les plans du projet de quartier de haute technologie qu’il compte bâtir sur les quais de la…
La DRH, un laboratoire pour tester le déploiement de l’IA
L’intelligence artificielle se positionne de plus en plus clairement comme un enjeu majeur à la fois du point technique, économique et social. Face ces bouleversements, le secteur des ressources humaines apparaît comme un terrain d’expérimentation particulièrement propice au déploiement de ces technologies émergentes.
VivaTech 2019 : Immersion dans le futur de l’emploi sur le Lab ManpowerGroup
Partenaire du salon VivaTech depuis sa première édition en 2016, ManpowerGroup donnait cette année le beau rôle aux innovations des startups RH. Retour sur les initiatives et technologies présentées sur leurs stands.
L’horizontalité : un outil pour le futur du travail ?
Les évolutions technologiques et la vitesse grandissante dans l’intégration d’outils digitaux inscrivent nos organisations dans une dynamique de transformation et d’adaptation permanente. Àce rythme s’ajoute une recherche de valeur ajoutée, de sens au travail qui profile des exigences déterminantes sur le futur marché de l’emploi. Dans ce contexte, l’expérience collaborateur est le nouveau code pour décrypter notre rapport au travail, inscrivant le travail lui-même au centre d’une économie des services. Loin des rapports de production de la dynamique industrielle, le travail est au service du collaborateur et de sa recherche de réalisation professionnelle, ce qui pousse nos organisations à devenir employee-centric,centrées autour des collaborateurs.
#VivaTech. Une logique « d’acteurs du changement » au cœur du salon : pour toutes les parties impliquées, il s’agit désormais de créer de la valeur en apportant des réponses innovantes aux problématiques sociétales et environnementales actuelles.